Tragédie aérienne : les révélations troublantes d’un expert sur le crash du vol Air India

Le 12 juin 2025, un Boeing 787 disparaissait tragiquement des radars peu après son décollage d'Ahmedabad, provoquant la mort des 241 passagers à bord. Un spécialiste en sécurité aérienne expose les défaillances techniques potentielles à l'origine de cette catastrophe sans précédent.
Un envol tragique qui tourne au cauchemar
Il est 13h39 lorsque l’appareil décolle de la piste. Le vol AI171 semble pourtant bien parti, avec à sa tête un équipage chevronné : le commandant Sumeet Sabharwal, vétéran de 22 ans de carrière, accompagné de son second, Clive Kundar. Mais moins de 60 secondes plus tard, la tour de contrôle reçoit un message glaçant : « Mayday… perte totale de puissance, impossible de maintenir l’altitude. » La voix trahit une urgence absolue.
L’avion peine à dépasser les 190 mètres d’altitude avant de piquer brutalement. Le choc avec le sol libère une énergie phénoménale, transformant instantanément les 100 tonnes de carburant en une boule de feu visible à des kilomètres à la ronde.
Une simple confusion aux conséquences fatales ?
Alors que les enquêteurs peinent à établir les causes exactes, un spécialiste répondant au pseudonyme de Capitaine Steve avance une théorie qui fait froid dans le dos. D’après ses analyses, le copilote aurait pu actionner par erreur la commande des volets au lieu du train d’atterrissage.
Cette méprise aurait été déterminante : ces dispositifs aérodynamiques sont cruciaux pour maintenir la portance lors des phases critiques. Leur rétraction prématurée équivaudrait à retirer brutalement son souffle à l’appareil, entraînant immanquablement décrochage et chute vertigineuse.
Des éléments techniques accablants
D’autres experts abondent dans ce sens. Alastair Rosenschein, ancien commandant de bord, souligne que les images montrent clairement le train toujours sorti au moment de l’impact. Plus troublant encore, la présence visible de la turbine de secours (RAT) suggère une panne majeure survenue dès les premiers instants du vol.
Le miracle du seul rescapé
Parmi les 242 passagers et membres d’équipage, un seul homme a miraculeusement survécu. Vishwash Kumar Ramesh, quadragénaire britannique assis près d’une sortie de secours, se souvient : « Un choc terrible, puis plus rien… Quand j’ai repris conscience, c’était l’horreur absolue. Je me suis extirpé des débres en courant. »
Son récit souligne à la fois l’extrême violence de l’accident et le caractère exceptionnel de sa survie, véritable coup du destin.
L’enquête se poursuit
Les précieuses boîtes noires ont été retrouvées et sont actuellement analysées par une équipe internationale d’experts. Si l’hypothèse de l’erreur humaine semble se confirmer, seules les données enregistrées permettront d’établir la chronologie exacte des événements.
Ce drame rappelle cruellement que dans l’aviation, chaque geste compte. Une seconde d’inattention, une confusion minime… et l’irréparable peut survenir.
En attendant les conclusions définitives, retenons que la sécurité aérienne repose sur un équilibre délicat : entre technologie sophistiquée, procédures strictes et vigilance permanente des équipages. Une alchimie complexe qui, heureusement, fait voler des millions de passagers en toute sécurité chaque jour.