Une patiente découvre un trésor insoupçonné dans ses genoux grâce à une radiographie

Publié le 1 septembre 2025

Une simple radio des genoux a révélé un secret médical étonnant chez une sexagénaire. Des centaines de micro-aiguilles en or, dissimulées dans ses articulations, ont offert une explication surprenante à ses douleurs persistantes. Cette découverte insolite nous plonge dans les méandres d'une pratique thérapeutique méconnue en Occident.

Quand l’arthrose résiste aux traitements conventionnels

À l’image de nombreuses femmes actives ou retraitées, cette patiente originaire de Corée du Sud vivait avec une arthrose générant des gênes articulaires aux genoux. Cette pathologie dégénérative, qui s’accentue avec les années, entraîne des douleurs chroniques, une mobilité réduite au quotidien et peut significativement entraver la qualité de vie. En dépit de multiples approches classiques — médicaments antidouleur, anti-inflammatoires — ses symptômes persistaient, accompagnés d’effets indésirables inconfortables sur le plan digestif.

C’est à ce moment qu’elle a exploré une option thérapeutique répandue en Asie : l’acupuncture. Cependant, il ne s’agissait pas de la méthode traditionnelle…

Des aiguilles demeurant dans l’organisme : une approche thérapeutique méconnue

Au cours de ses consultations, cette femme a bénéficié de l’implantation d’aiguilles en or autour de ses articulations sensibles. Différemment de l’acupuncture conventionnelle où les aiguilles sont retirées après la session, ces micro-implants ont été conservés dans ses tissus. Le but ? Prolonger durablement les effets thérapeutiques de la stimulation.

Cette méthode, parfois nommée « acupuncture permanente », continue d’être employée dans certaines régions d’Asie, particulièrement pour apaiser les douleurs rebelles. On insère alors de minuscules fragments d’or ou d’acier chirurgical, stériles, qui demeurent en place… pendant plusieurs années, parfois définitivement.

Une révélation fortuite… aux implications complexes

C’est durant un examen radiographique standard que les praticiens ont observé, stupéfaits, la présence de centaines de petites aiguilles scintillantes logées autour de ses genoux. Une véritable énigme clinique qui a provoqué autant d’émerveillement que de circonspection. Car si l’or est un métal biocompatible et généralement bien accepté, la persistance d’éléments exogènes dans l’organisme n’est jamais dénuée de risques.

Selon des experts en imagerie médicale, ces implants métalliques peuvent occulter certaines structures anatomiques sur les clichés radiologiques, compliquant le repérage d’autres affections. Plus préoccupant encore, ils rendent délicate la réalisation d’une IRM : la possibilité que les aiguilles se déplacent sous l’influence du champ magnétique existe bel et bien, avec un potentiel de lésions pour les tissus avoisinants.

Acupuncture : réelle efficacité ou simple croyance ?

La question revient fréquemment : l’acupuncture produit-elle véritablement des effets ? D’un point de vue evidence-based, les données scientifiques robustes manquent encore. Cela n’empêche pas des millions d’individus à travers le globe d’y recourir, spécialement pour atténuer les troubles musculo-squelettiques ou articulaires.

En France, bien que la discipline soit réglementée, elle attire davantage de femmes en recherche d’alternatives douces et naturelles. Certaines en retirent une conviction profonde, d’autres conservent un scepticisme marqué. Une évidence demeure : face à la chronicité de la souffrance, on devient souvent disposée à tester des voies différentes, surtout lorsqu’elles offrent l’espoir d’un mieux-être.

Se soigner avec discernement : la clé d’une approche équilibrée

Cette anecdote surprenante nous enseigne qu’il est crucial de se documenter sérieusement avant d’expérimenter une médecine alternative, même très répandue. Un échange avec un médecin reste une étape primordiale. Et si l’on opte pour des thérapies complémentaires, il importe de vérifier qu’elles sont dispensées par des praticiens certifiés, dans un environnement sécurisé.